Selamat !
Ce matin préparation des valises. Le chauffeur d’hier vient nous chercher à 1 h ½ pour nous emmener à Ubud.
Nous sommes un peu perdus, car il y a des habitations tout le long de la route jusqu’à Ubud. On a l’impression de ne pas avoir quitté la ville. Toujours ce trafic important de voitures et de scooters. Pas de panneaux d’entrée de village. Arrivés à Ubud, le chauffeur est obligé de demander 3 fois où se trouve notre hôtel car le nom des rues n‘est pas indiqué. Enfin nous y voilà.
Nous sommes accueillis avec un jus de fruit bien frais apporté à notre chambre. On nous propose le tea-time, que nous acceptons par politesse. Et là, surprise, on nous lave les mains, on nous met la serviette sur les genoux. Les couverts sont en argent et les assiettes en porcelaine. Nous avons droit à un goûter : sandwich au jambon, tomate farcie d’un œuf dur, gâteaux délicieux au chocolat de plusieurs sortes, crêpe fourrée à la mangue, verre de thé. Nous mangeons tout, alors que nous avons pris notre repas de midi juste avant de partir, afin de ne pas vexer notre hôtesse. Nous voyons après qu’il en est ainsi tous les jours, et nous décidons de ne pas être là pour les tea time ou de ne demander qu’un thé. Marie ! Tu ne disais pas qu’on allait maigrir pendant ce voyage ? L’hôtel est composé de petits bungalows de bambous, toits en feuilles de pandanus, au milieu de la végétation. La piscine s’appelle « Jungle bathing pool ». Il y a des coqs un peu partout.
Nous partons à la découverte d’Ubud, où l’atmosphère est moins étouffante qu’à Legian. C’est dimanche et les habitants ont revêtu leurs habits de fête, sarongs, chemisiers blancs brodés pour les filles, les hommes portent une sorte de turban sur la tête noué devant. Les temples sont décorés de tissus dorés et d’offrandes.
Il y a beaucoup de galeries de peinture à Ubud, la ville est célèbre pour ses artistes.
Selamat
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